L’entreprise Perplexity soupçonnée d’avoir copié un article de Wired
Wired a récemment publié un article dénonçant le comportement de la start-up Perplexity, accusée d’avoir plagié leur contenu. L’enquête révèle que le chatbot de Perplexity a généré un résumé très similaire à l’article original, allant jusqu’à reprendre mot pour mot certains passages. Cela soulève des questions sur les pratiques éthiques de cette entreprise soutenue par des investisseurs de renom comme Jeff Bezos. Cet article analyse les implications juridiques et les défis posés par l’utilisation de l’IA générative dans le domaine du journalisme.
Points clés
- Wired a publié un article dénonçant le plagiat par Perplexity de leur contenu
- Le chatbot de Perplexity a généré un résumé très similaire à l’article original, avec des passages identiques
- Perplexity est soupçonné d’avoir utilisé des robots pour scraper illégalement des sites web
- L’entreprise est soutenue par des investisseurs comme Jeff Bezos et Nvidia
- Des experts juridiques estiment que Perplexity pourrait faire face à des poursuites pour violation de droits d’auteur
- La question du cadre juridique adapté à l’IA générative dans les médias est soulevée
- Le plagiat et la violation de la propriété intellectuelle sont des enjeux éthiques majeurs pour l’IA
À retenir
Décidément, cette histoire de Perplexity montre bien que l’IA générative n’est pas une panacée et peut poser de sérieux problèmes éthiques. Copier bêtement du contenu sans attribution, c’est vraiment le genre de comportement qu’on attendrait plutôt d’un étudiant malhonnête que d’une entreprise high-tech censée être à la pointe de l’innovation. Mais bon, avec les milliards de dollars investis par des gros noms comme Bezos, on dirait que tout est permis ! Espérons que cette affaire serve de leçon et pousse les régulateurs à mettre en place un cadre juridique plus strict pour encadrer l’utilisation de l’IA dans les médias.
Sources
