Des hackers chinois accusés de cyberespionnage à grande échelle
Les États-Unis et le Royaume-Uni ont accusé la Chine d’avoir mené une campagne massive de cyberespionnage, visant des entreprises, des politiciens et des critiques de la Chine pendant plus de dix ans. Des sanctions et des poursuites judiciaires ont été annoncées à l’encontre du groupe de pirates informatiques APT31.
Points clés :
- Les États-Unis et le Royaume-Uni ont accusé la Chine de cyberespionnage à grande échelle, visant des entreprises, des politiciens et des critiques de la Chine pendant plus de dix ans.
- Le groupe de pirates informatiques APT31, lié au ministère chinois de la Sécurité de l’État, est responsable de ces attaques.
- Les cibles comprenaient un fournisseur majeur d’équipements de télécommunications 5G aux États-Unis, des responsables gouvernementaux norvégiens et des personnes travaillant dans les secteurs de l’aérospatiale et de la défense.
- Sept ressortissants chinois ont été inculpés pour complot en vue de commettre des intrusions informatiques et fraude électronique.
- Deux d’entre eux ont également été sanctionnés, ainsi qu’une société basée à Wuhan, Wuhan XRZ, qui serait une couverture pour les opérations de piratage informatique liées au ministère chinois de la Sécurité de l’État.
À retenir :
Il est important de prendre des mesures pour protéger les systèmes informatiques et les données sensibles contre les cyberattaques. Les entreprises et les gouvernements doivent renforcer leur sécurité informatique et être vigilants face aux menaces de cyberespionnage. Les sanctions et les poursuites judiciaires peuvent dissuader les pirates informatiques, mais il est également important de coopérer au niveau international pour lutter contre ce type de menace.
